Il est important, comme énoncé précédemment, de garder en tête que ce voyage devra avoir une saveur touchant les quatre sphères d’activités du Prix international du Duc d’Édimbourg - Canada (4ème de 4) dans le but d’inspirer les participants actifs à relever des défis et à suivre cet exemple.
Bien que le but soit de faire de ce voyage une collecte de fonds au bénéfice du Prix international du Duc d’Édimbourg - Canada, le défi reste l’ascension. Le mont Kilimandjaro, d’une hauteur de 5 890 mètres, ou 19 340 pieds, n’est pas à sous-estimer.
Déjeuner et préparation
Trajet en véhicule de l’agence
Départ à la porte Londorossi (2400m)
Distance 6 km
Gain d’altitude 500 m
Arrêt pour la nuit au camp du mont Mkubwa (2900 m)
Difficulté : Moyenne
Environnement : forêt tropicale
Déjeuner et préparation
Départ du camp du mont Mkubwa (2900 m)
Distance 16 km
Gain d’altitude 975 m
Arrêt pour la nuit au Camp Shira 2 (3875 m)
Difficulté : Facile
Environnement : Lande
Déjeuner et préparation
Départ du Camp Shira 2 (3875 m)
Distance : 10 km
Gain d’altitude : 108 m
Arrêt pour la nuit au Camp Barranco (3983 m)
Difficulté : Moyenne
Environnement : Lande
Déjeuner et préparation
Départ du Camp Barranco (3983 m)
Distance : 5 km
Gain d’altitude : 0 m
Arrêt pour la nuit au Camp Karanga (3983 m)
Difficulté : Moyenne
Environnement : Rocheuse
Vidéo si possible. Rien de garanti.
Déjeuner et préparation
Départ du camp Karanga (3983 m)
Distance 5 km
Gain d’altitude 663 m
Arrêt pour la nuit au haut camp Barafu (4645 m)
Difficulté : Difficile
Environnement : Désert alpin (rocheuse)
Vidéo si possible. Rien de garanti
Déjeuner et préparation
Départ du haut camp Barafu (4645 m)
Distance 5 km
Gain d’altitude 1250 m
Levé de Soleil au sommet (5895 m) !!!
Distance 12 km
Perte d'altitude : 2827 m)
Arrêt pour la nuit au camp Mweka (3068 m)
Difficulté : Difficile
Environnement : Climat arctic au sommet
Vidéo si possible. Rien de garanti
Déjeuner et préparation
Départ du camp Mweka (3068 m)
Distance 10 km
Perte d’altitude 1268 m
Arrivée à la porte Mweka (1800 m)
Difficulté : Facile
Environnement : foret tropicale
Voyager en gros groupe est risqué. Il y aura toujours un touriste mal préparé, un alpiniste blessé ou un voyageur trop téméraire. Le groupe en sera ralenti et l’expérience sera terrible.
Une ascension en 6 jours est risquée. Prévoir 1 jour d’acclimatation de plus aux alentours des 13 000 14 000 pieds est suggéré. Un total de 7 jours.
Le cratère avant le sommet est froid et peu recommandé, mais il est préférable de dormir la dernière nuit à cet endroit pour assister au lever de Soleil au sommet et pour une descente prudente.
Le crime en Afrique est réel. À l’hôtel, ne pas sortir la nuit tombée et rester prudent en toute circonstance.
Ne jamais accepter d’eau qui ne provient pas de bouteille scellée et ne jamais manger d’aliment non cuit ou exposé. Exemple : Une pomme n’est pas envisageable, mais une orange si épluchée soi-même oui.
Les agences offriront des stocks d’eau trop bas. Exiger une quantité d’eau supérieure, car vous devrez boire même lorsque vous n’avez pas soif. (10-15 bouteilles de plus dépendant du nombre d’alpinistes). Aussi, apporter une bonne quantité de supplément alimentaire.
Les bagages ne voyagent pas nécessairement avec l’alpiniste. Garder les articles essentiels comme les aspirines, sur soi.
Le minimum d’effort est le mieux. Un alpiniste averti reste tranquille à l’arrivée sur le site de coucher et cherchera à se reposer.
Le rythme de marche DOIT être ridiculement lent. Le meilleur alpiniste est le dernier. Le danger de cette montagne est qu’une personne en bonne forme physique voudra accélérer et trouvera le rythme beaucoup trop lent. Toutefois, le rythme doit être lent pour une question d’acclimatation à la rareté de l’oxygène (seulement environ 50 % de la quantité d’oxygène que nous retrouvons quotidiennement est présents au sommet du Kilimandjaro).
Un alpiniste trop rapide risque un œdème pulmonaire ou cérébral pouvant entraîner la mort. L’hypoxie cellulaire qui cause le mal aigu des montagnes est caractérisée par des maux de tête, des nausées et vomissements, de l’insomnie, une fatigue, des vertiges, des troubles de l’équilibre, une dyspnée et un manque d’appétit. Bien que ces symptômes à un niveau léger soient courants en altitude, un constat qui est pire au réveil qu’au moment de s’endormir doit être considéré comme alarmant.
Il est important d’être soucieux de la réalité d’Afrique. Tout matériel et bien qui peuvent être donnés dans les communautés environnantes doit l’être. La population est très pauvre et donc la générosité est importante.
Le plan d'ascension et de déroulement du voyage n'est encore qu'une ébauche. Plus de détails et d'informations suivront.
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